À l’aube du lancement de Kanaveral, Pierre Sans – co-associé de Avocatio – nous livre ses confidences sur les coulisses de sa création.
C’est aujourd’hui, vendredi 26 Novembre 2021, que le résultat d’un an de travail va être dévoilé devant près de 300 dirigeants de PME venant de toute l’Occitanie.
Pour l’occasion, Pierre a accepté de répondre aux questions que vous pourriez encore vous poser après cette cérémonie.
1 – D’où vous est venue cette idée de fonder Kanaveral ?
Les prémisses de Kanaveral ont germé en 2019, lors du premier confinement. Après quelques mois de crise, les entreprises ont commencé à souffrir de la situation.
Nous nous sommes donc interrogés sur l’impact qu’elle pourrait avoir sur le long terme et de quelle manière nous pourrions les aider.
Puis, lorsque l’économie a commencé à reprendre, nous avons réalisé que nous n’avions pas vu le problème dans sa globalité. Même si cette crise constitue un véritable accélérateur de transformation, les entreprises ne doivent pas attendre les grosses crises pour commencer à se réinventer.
C’est un processus lent, qui doit s’opérer au quotidien pour faire face aux enjeux qui seront de plus en plus nombreux dans le futur.
Forts de ce constat, le projet a commencé à se dessiner dans nos esprits et au fil de nos discussions.
Nous avons fini par conclure que, nous aussi, nous devions réinventer notre manière de travailler. C’est pourquoi nous avons décidé d’associer nos compétences pour créer Kanaveral.
2 – Pourquoi avoir choisi FidSud et CapRH pour Kanaveral ?
Lorsque l’idée a commencé à germer, nous avons décidé de nous rassembler pour déterminer quels étaient les domaines d’activité indispensables à la définition d’une stratégie ou d’une transformation.
Nous en avons identifiés trois :
- le droit
- l’humain
- les chiffres.
A partir de là, il n’a pas été difficile de trouver des partenaires. Grâce à notre réseau, et aux connaissances que nous avions déjà tous les uns les autres, le choix de s’associer avec FidSud et CapRH était une évidence.
Nous souhaitons cependant aller plus loin dans le conseil aux entreprises. Dans les prochains mois, nous allons continuer à étoffer notre offre en nous associant avec de nouveaux acteurs et répondre à tous les besoins de nos clients.
3 – Kanaveral, que retirez-vous de cette expérience ?
L’élaboration de ce projet, c’est un peu notre “Expérience Kanaveral” à nous. Bien que facilitée par des compétences déjà solides et une légitimité importante des différents partenaires, ce fut une véritable aventure. (rires)
Sortir de sa zone de confort pour créer une offre complètement différente est un exercice intéressant de prise de recul.
Cela permet de prendre de la hauteur et de grandir en parallèle de son projet. Je retire beaucoup de positif de cette expérience et j’ai hâte de voir comment le projet va évoluer.
4 – Qu’imaginez-vous pour le futur de Kanaveral ?
J’espère qu’après un an nous pourrons déjà observer les premiers résultats des transformations que nous avons entreprises et que nous aurons pu acquérir la confiance de nos clients.
Plus tard, j’espère que nous réussirons à intégrer de nouveaux partenaires aussi ambitieux que nous à notre offre, pour pouvoir proposer des solutions dans de nouveaux secteurs stratégiques que nous avons commencé à identifier et que nous validerons au contact de nos clients.
À terme, j’ai la volonté de voir Kanaveral exister par lui-même, grâce à des compétences reconnues et une légitimité forte ancrée sur le territoire occitan, au-delà de la notoriété des membres fondateurs.
5 – Pourquoi faire confiance à Kanaveral ?
Aujourd’hui, Kanaveral c’est la promesse d’être face à des interlocuteurs qualifiés et qui poussent très loin l’accompagnement pour le dirigeant et son entreprise.
La complémentarité des équipes vous apporte une vision croisée dans les disciplines qui sont au cœur de l’entreprise. Nous créons un environnement complet propice à un accompagnement plus proche du dirigeant, en analysant sa capacité à mettre en œuvre des recommandations et en lui donnant toutes les clés pour y arriver au travers d’une démarche moins théorique et résolument opérationnelle.
Propos recueillis par Lucas Gonzalez de l’agence StandOut France.
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