À l’aube du lancement de la nouvelle marque, Olivier Navarro, associé fondateur chez CapRH et fraîchement embarqué dans l’aventure Kanaveral, nous livre ses confidences sur les coulisses de sa création.
Dans quelques heures, nous dévoilerons enfin le projet que nous tenons secret depuis si longtemps. Avec mes associés, cela fait plus d’une année entière que nous travaillons à l’élaboration de cette nouvelle offre. Un accompagnement du dirigeant dans tous les domaines de l’entreprise mais surtout plus simple et plus authentique.
1 – D’où vous est venue cette idée de fonder Kanaveral ?
Me concernant, la création de Kanaveral résulte tout d’abord d’une envie. En fait, comme les futurs clients que nous projetions d’accompagner, je ressentais ce besoin d’évoluer professionnellement et d’aller vers de nouvelles aspirations.
J’avais l’envie d’apporter ma contribution auprès des dirigeants d’Occitanie avec un peu plus de recul et d’envergure, tout en retrouvant ce travail d’équipe que j’affectionne tant.
2 – Pourquoi avoir choisi Avocatio et CapRH pour Kanaveral ?
Lorsque j’ai débuté dans le milieu du conseil (bien avant de fonder CapRH), c’est chez FidSud que j’ai pu faire mes premières armes. Je savais donc déjà que nous étions sur la même longueur d’onde.
Chaque femme et chaque homme derrière Kanaveral partagent les mêmes valeurs d’humilité, d’engagement, de pragmatisme, de proximité et c’était réellement ça qui était important pour moi dans le choix de mes partenaires.
Au-delà des individus, Avocatio et FidSud constituent à mes yeux deux structures de référence, chacune dans leur domaine.
3 – Pourquoi avoir choisi le nom “Kanaveral” ?
Lorsque le nom de Kanaveral m’a été présenté pour la première fois, j’ai de suite été séduit.
Je me reconnais tout à fait dans ce nom, par l’énergie qu’un simple mot arrive à dégager. Au-delà de cette impression, la symbolique qui y est attachée est forte. Kanaveral ouvre la voie à toute une série de promesses : l’exploration, l’accompagnement, le dépassement de soi, qui constituent l’essence même de Kanaveral.
4 – Qu’imaginez-vous pour le futur de Kanaveral ?
La première chose qui me vient à l’esprit, ce sont les rencontres. Grâce à l‘expérience Kanaveral, j’espère pouvoir découvrir (ou redécouvrir) de belles personnalités et je suis certain que ces expériences me permettront également d’en apprendre un peu plus sur moi.
Notre objectif est clair, nous souhaitons créer un accompagnement de référence dans le milieu du conseil et que les dirigeants puissent être fiers de dire : “J’ai fait Kanaveral et ça m’a servi !”
A terme, j’espère que Kanaveral réussira à maintenir cette énergie, cette curiosité et cet esprit de partage qui ont présidé à sa création.
5 – Kanaveral, que retirez-vous de cette expérience ?
A titre personnel, l’élaboration d’un tel projet m’a permis de me sortir de ma zone de confort et du cadre habituel de CapRH.
C’est aussi et surtout une fierté d’avoir, pendant près d’un an, pu partager une vision, d’avoir pu contribuer à un projet d’envergure comme celui-ci et, surtout, de l’avoir mené à son terme.
C’est rigolo mais on peut une fois de plus faire un parallèle avec notre offre, qui consiste à accompagner le dirigeant jusqu’à ce que ses aspirations soient accomplies !
Finalement, j’ai un peu l’impression d’avoir vécu l’expérience Kanaveral avant l’heure. (rire)
6 – Pourquoi faire confiance à Kanaveral ?
Pour moi, Kanaveral aujourd’hui c’est l’alliance entre des hommes et des femmes passionnés par leur métier et aux capacités techniques élevées qui ont cette appétence toute particulière pour la découverte de l’autre.
Selon moi, il n’y a pas meilleur gage de performance et de réussite que l’alliance entre passion et savoir-faire!
Propos recueillis par Lucas Gonzalez de l’agence StandOut France.
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